J’ai gagné un N95 !

Je suis accro aux cellulaires depuis maintenant plus d’une décennie. Je n’avais toutefois pas encore craqué pour les smartphones. Eh bien c’est chose faite ! Le bureau chargé des relations publiques de Nokia à Montréal a organisé un concours auprès des journalistes.

 

En 200 mots, nous devions expliquer pourquoi nous « méritions » de gagner le N95, dont Bruno Guglielminetti a fait l’éloge dans Le Devoir. « Un appareil de la série Nseries célébré par la critique que l’on décrit fréquemment comme le meilleur mariage entre l’ordinateur et le téléphone cellulaire, a écrit le journaliste. D’autres le décrivent comme étant le téléphone intelligent le plus avancé technologiquement. En ce qui me concerne, ce qui me fascine avec cet appareil de Nokia, c’est de constater que c’est probablement le premier ordinateur portable que l’on peut tenir dans le creux de sa main. »

 

Il conclut sa critique ainsi : « personnellement, c’est probablement un des meilleurs achats que j’ai faits dans ma vie, et ce n’est pas peu dire ! » 

 

Sur un note moins sérieuse, voici le « pitch » qui m’a permis de remporter le gros lot :

 

Il est évident que je suis celle qui mérite le N95. D’abord, parce que je suis ne fille, donc je parle beaucoup au téléphone. Ensuite, parce que la Japonaise en moi passe son temps à prendre des photos et que ça me permettrait de sortir avec des sacs à mains plus compacts (plus besoin de trimballer ma caméra). Aussi parce que j’ai la fâcheuse habitude de me perdre. Je pense que ça rassurerait beaucoup mon chum de savoir que j’ai un GPS en permanence avec moi.

 

Parce qu’il est mignon comme tout, aussi. Il s’agencerait parfaitement avec mon Mac et avec l’ensemble de ma garde-robe. Il mettrait mon teint vert en valeur (surtout parce qu’il détournerait les regards dudit teint vert). Je le nourrirais de beaux messages et je caresserais son clavier régulièrement pour qu’il ne se sente jamais délaissé. Je le laisserais traîner « subtilement » sur la table au resto. Je pourrais me la jouer « mojo de Reuters » et m’en servir lors de mes nombreux voyages pour publier mes clichés et mes vidéos sur mon blogue.

 

En fait, il est la version « gadget » du beau gars : on le montre au max… pour se mettre en valeur ! Suffit de ne pas se le faire piquer…

 

 

Il risque donc d’y avoir plus souvent de vidéos sur ce blogue… 😉

 

P.S. : Ce billet a été rédigé il y a plus d’une semaine, mais pour des raisons diplomatico-pratiques (!), j’ai dû attendre un peu avant de le publier.