On m’avait dit.
C’est un choc de rentrer.
Je suis impressionnée par l’allure de la ville.
Tout est charmant. Tellement parfait.
Comme dans les films.
Je marche en gardant la tête vers le haut, les yeux rivés au ciel.
Je me dis que c’est étrange. Les mêmes nuages blancs. Cette grosse boule jaune qui vient et qui part. Réglée au quart de tour. Tout est réglé au quart de tour, mais rien ne semble fonctionner d’où je me trouve. L’écart est trop grand, sans demi-mesure. Sans juste milieu.
Un très beau texte de Stéphanie Lapointe, qui vient d’arriver à Paris après un séjour au Darfour et au Rwanda.
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Très beau en effet. Je viens de rentrer aussi (de Chine), mais la première impression est plutôt que c’est si… vide ici.
Je comprends tellement ce que tu veux dire! Je pars vendredi pour Taipei… J’AI HÂTE!!!!!!!! 🙂
Quel texte ! Elle est très touchante cette Stéphanie.
Ha, les retours, trop durs. Connais une fille qui, en rentrant d’Afrique, a vomi dans les poubelles devant un supermarché !
Mon retour que j’ai à vivre, moa, c’est celui du après-avoir-lu-le-livre-de-MarieJu-Cartes postales d’Asie ! Ma tête est ailleurs aujourd’hui, ça c’est sûr 🙂 Ça goûte le lait à la papaye même si j’ai jamais goûté ! 🙂
Tu sais quoi? Je pense que le lait à la papaye (qui était à l’époque vendu dans de petits cartons oranges) est discontinué. 🙁 Je vais quand même mener ma petite enquête et en rapporter plein si j’arrive à trouver de la place dans mes bagages (le thé sera prioritaire toutefois!;-)
Et bien contente que tu aies aimé ton voyage sur les ailes de Air MJ! 🙂