… je venais d’arriver à Taïwan, où je devais enseigner l’anglais pendant un an. Même si j’ai rapidement développé une très belle complicité avec mes étudiants, j’ai quitté mon boulot au bout de dix mois. En plus d’être atteinte du syndrome de l’imposteur (ceux qui me connaissent savent que je parle la langue de Shakespeare avec un accent trèèèès prononcé, sans compter les erreurs que je commets régulièrement), j’avais envie de reprendre la route. Et puis, tant de sujets m’appelaient! Je suis revenue cinq semaines à Montréal avant de repartir là-bas cinq autre mois, histoire de me consacrer au journalisme à la pige… et de retrouver Joseph, dont j’avais fait la connaissance quelques semaines auparavant!
Je deviens nostalgique les jours de pluie.
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J’ai acheté ton bouquin le mois dernier, et je faisais justement un blitz de lecture en fin de semaine (très très maussade à Montréal, bien entendu). J’étais d’ailleurs rendu au bout où tu revenais à Taiwan.
Je vais coller des photos de voyage et du texte ensemble pour parler des marchés nocturnes à Taiwan et en Asie pour un blogue sur l’espace public des villes. Laissais-tu entendre que tu avais écrit/fait qqc sur les marchés (en parlant avec Chung-Hsing Sun)?
Oui, j’avais fait un reportage pour La Presse en 2002. Je l’ai mis ici (dans la section «Ailleurs» si ma mémoire est bonne): http://www.icietailleurs.ca.tc
Cool pour mon livre! Merci! J’espère que tu l’aimeras! 🙂
@ Cedric: J’oubliais: j’ai publié un court billet sur le sujet ici: http://taxibrousse.wordpress.com/2008/06/05/orgie-de-fruits-de-mer/
Mais l’entrevue avec le sociologue taïwanais qui me parlait des marchés de nuit, c’était bel et bien pour La Presse en 2002.