Je ne suis pas une inconditionnelle de Klapisch (remarquez, je ne sais pas si je suis une inconditionnelle de quiconque – en fait si, de Fernando Meirelles et de Manu Chao). Comme plusieurs accros du voyage, j’ai fait de L’Auberge espagnole mon film-thérapie. Savouré la suite, Les Poupées russes. Bien aimé Chacun cherche son chat et Le péril jeune, mais sans plus. Détesté Peut-être.
Une heure en tête à tête avec l’homme pour une entrevue lors de la sortie des Poupées russes m’a laissée à mi-chemin entre l’admiration (ses questions, ses idées bien arrêtées sur l’amour, le couple, la vie…) et la désillusion (pour les mêmes raisons). Un peu trop bourge. Un peu trop macho. Humain. Et moi, l’Humain, avec ses imperfections, sa vérité et sa sensibilité tantôt exacerbée, tantôt sous-jacente, j’adore. Surtout quand il nage dans un certain chaos. «La vie, c’est bordélique. J’aime mieux parler de ça que d’évidences», m’avait-il dit.
C’est pourquoi je me ruerai au visionnement de presse de Paris, qui met en vedette Juliette Binoche, Romain Duris et Fabrice Luchini et qui sortira en salle le 3 octobre à Montréal. Même si je lui en veux encore pour la scène du train des Poupées russes.
Mon petit doigt me dit que je risque d’être conquise.
Aucun commentaire
Je viens de regarder le trailer. Franchement! Il n’y a plus aucun suspense. Tout le film y est!!!
Moi aussi je le suis déjà…
@ Gina: ben ce n’est pas comme s’il y avait grand secret dans le synopsis non plus… Tout sera dans le «comment»!
@ Patrick: Quoi? ConquiSE? lol
Oui, mais ils mettent vraiment trop de détails selon moi. Enfin… J’ai hâte que tu le vois pour avoir ton avis.
Moi aussi j’ai hâte de voir!!!