Voici venu le temps de l’année où j’hésite entre l’hibernation et la poudre d’escampette. Je veux bien croire que les voyagistes visent d’abord les retraités en mettant de l’avant leurs destinations «longs séjours», l’idée de m’évader un ou deux (trois?) mois par an reste très séduisante pour une pigiste comme moi qui peut travailler de n’importe où. Surtout quand je vois des promo à moins de 2000$ pour un mois entier en Tunisie, repas compris…
Bon, d’accord. Je deviendrais folle au bout de trois jours et dépenserais l’équivalent en excursions. N’empêche, je serais prête à beaucoup de sacrifices pour un peu de chaleur pendant notre interminable hiver québécois!
Je me vois tout à fait enseigner la géo et l’histoire à fille au soleil quelques mois par an. Bientôt, bientôt…
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c’est très tentant particulièrement avec un métier exportable comme le tien.
je confirme, le soleil et la chaleur aident au bonheur…
… surtout dans un appart de rêve en haut d’une tour à Dubai! 😉
Ni hao,
Aussi à Shanghai les températures baissent lentement mais je ne suis pas mécontente pour autant. Exilée en Asie depuis près de deux ans, je vois arriver l’automne avec un soupir de soulagement car je déteste la chaleur humide et excessive des étés shanghaiens. C’est maintenant la meilleure saison pour rédécouvrir ma ville d’adoption et pour voyager!
Bon automne!
Véronique
@ Véronique: Ah! La chaleur humide… moi j’adore! Bon, ok, j’avoue qu’il faut absolument avoir la clim chez soi pour y survivre, mais j’échangerais n’importe quand nos hivers contre un climat tropical, si extrême soit-il! Vais aller visiter ton blogue pour en savoir plus… 😉