Appelons ça «l’effet Vancouver». Moi qui préfère l’odeur rassurante du bitume à celle d’un bouquet de roses, je me suis fait prendre au jeu de la nature. Pire (horreur!), je me suis transformée en photographe animalière et je me surprends à m’extasier devant les cerisiers en fleurs (autre séquelle de ma parenthèse asiatique). Pourtant, s’il y a quelqu’un qui «HAGUIT» les photos de plantes et d’animaux d’habitude (bon, il y a tout de même quelques exceptions!;-), c’est bien moi.
Coudonc. Faut croire que les bouleversements climatiques affectent aussi mon cerveau. La grande migration de mes zones de plaisir? Naaaah. Simple égarement. Juré, craché, rrrrte.
Alors avis aux urbains purs et durs, les images qui suivent pourraient provoquer quelques nausées…
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Parlons-en des envies de nature! Je n’en peux tout simplement plus de Shanghai et son odeur de bitume moi qui suis pourtant une vraie city girl!
En ce moment, je donnerais n’importe quoi pour une expatriation “au vert” en Australie ou en Nouvelle-Zelande. C’est peut-être ça vieillir? Voir les choses avec un regard différent, revoir ses priorités…
@Veronique: Pourtant, il y a plein d’escapades «nature» à faire en Chine, non? J’avoue que l’Australie et la Nouvelle-Zélande me font rêver moi aussi… 😉
Tu te débrouilles bien, en photos “nature”… Tu devrais peut-être te lancer dans de nouvelles chroniques sur la faune autre qu’humaine, et te reconvertir en reporter animalier???
😆
Je seconde! Le canard à Stanley Park, c’est très réussi comme photo.
@Corinne: Merci! Par contre, heu, non, je préfère continuer à photographier des gens, des lieux et des macarons! :-)))
@Mathieu Lavallée: Allô! Merci, c’est gentil! 🙂 Ils se laissent photographier aisément les canards là-bas il faut dire…