Dans vingt ans, visiterons-nous la planète dans des autobus volants? Serons-nous accueillis par des robots dans les hôtels? Irons-nous siroter des cocktails sur la lune? Pistes de réponses.
Le Dr Ian Yeoman de l’Université de Wellington en Nouvelle-Zélande est formel: en 2030, nous aurons des problèmes d’approvisionnement en eau, en gaz et en denrées diverses. La technologie sera bien sûr beaucoup plus avancée. Résultat: l’artificiel pourrait prendre le pas sur le naturel. Nous assisterons à la multiplication d’attractions intérieures comme des stations de ski, des cirques, des zoos et des terrains de golf.
Selon lui, les robots auront une place de choix dans l’industrie touristique puisqu’ils constitueront un important bassin de main d’œuvre bon marché. Non seulement nous ferons-nous servir un verre par un bras de fer, mais «même des robots prostitués, qui ne peuvent pas transmettre de maladies comme le VIH, pourraient faire leur apparition», se risque l’auteur du livreTomorrow’s Tourist.
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