Qui n’a pas rêvé d’avaler les kilomètres façon Easy Rider, Diarios de motocicleta ou encore Thelma et Louise (sans la fin tragique, bien entendu)? Pour plusieurs, prendre la route est synonyme de liberté. Et l’occasion de s’offrir un véritable buffet de chocs culturels!
Jean-François Perreault, chef rédacteur, a sillonné les routes des États-Unis pendant six semaines avec sa copine et un collègue de travail en 1998. Le trio s’est donné comme objectif de faire un tour complet du pays en évitant les grandes villes et en découvrant les parcs nationaux. «Tout le long, on a couché dans nos tentes, transporté notre glacière et notre four de camping. Pour l’automobile, on avait eu droit à une promotion spéciale (location d’un mois, kilométrage illimité et pas de restriction pour les États-Unis). T’aurais dû voir la gueule du gars lorsqu’il a vu le compteur à notre retour…»
La suite sur Canoë! (attention, le texte se poursuit sous la pub)
2 Commentaires
Mon rêve. Vraiment. Je veux traverser en diagonale jusqu’en Californie puis revenir par Vancouver ou la Louisiane puis le contraire. Un jour. Mais pas seule.
@Cécile: C’est vrai qu’un road trip avec des amis, c’est encore plus cool! Dans la deuxième partie du texte, Nathalie Rivard raconte son road trip dans les Keys en solo…