Autrice, journaliste, recherchiste, chroniqueuse, machine à idées et questionneuse en série, Marie-Julie Gagnon se définit d’abord comme une exploratrice. Elle collabore à de nombreux médias québécois et internationaux depuis plus de 25 ans. Elle a publié une quinzaine de livres, dont les essais « Voyager mieux : est-ce vraiment possible ? » (Québec Amérique, 2023), « Que reste-t-il de nos voyages ? » (Éditions de l'Homme, 2019) et le récit «Cartes postales du Canada » (Michel Lafon, 2017), en plus de diriger les deux tomes du collectif « Testé et approuvé : le Québec en plus de 100 expériences extraordinaires » (Parfum d'encre, 2017 et 2023) et de coécrire « Le voyage pour les filles qui ont peur de tout », (Michel Lafon, 2015 / 2020). Elle a lancé le blogue Taxi-brousse en 2008 et visité plus d'une soixantaine de pays, dont le Canada, qu'elle ne se lasse pas de sillonner de long en large.
Certains voyagent pour voir le monde, elle, c’est d’abord pour le « ressentir » (et, accessoirement, goûter tous les desserts au chocolat qui croisent sa route).
Sur Twitter, Instagram et TikTok: @mariejuliega. Sur Facebook: facebook.com/montaxibrousse/
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J’aime bien, pour les enfants nippon je trouve ça super !
Je trouve ça vraiment pas mal. Je pense qu’il s’agit moins d’humour scatologique que d’aborder des problèmes de santé qui peuvent arriver aux survivants japonais : déshydratation, insuffisances alimentaires, nourriture contaminée, intoxications alimentaires, manques, dysenterie … qui peuvent se solder par des diarrhées et des rejets de gaz assez importants. Pour dire les choses de façon concrète, je pense que l’état des sanitaires dans les camps de réfugiés doit être horribles et qu’il s’agit davantage de dédramatiser la situation en disant: “ce n’est pas grave, c’est normal, et ça va bientôt aller mieux”.
C’est bien que tu ne saches pas quoi penser. Ça veut dire que t’es pas encore blasée. T’as pas encore tout vu, t’es encore curieuse. T’as encore de la place (et de la souplesse mentale) pour quelques chocs culturels. En tout cas, moi j’ai bien rigolé.
… si tu savais à quel point ça me plaît de «ne pas savoir quoi en penser»! 😉