Je me trouve actuellement dans ma région natale, où je joue les touristes pour un journal français, deux blogues et un magazine québécois.
En une semaine, j’ai testé deux spas nordiques, exploré L’Anse-Saint-Jean, dormi dans une cabane dans les arbres, dans une yourte, chez ma soeur et chez mes parents, en plus de découvrir la plage du Parc national de la Pointe-Taillon (photo ci-dessus), de visiter l’Auberge de jeunesse de Chicoutimi (la Maison Price), de combattre des ours (du moins, dans ma tête), de passer saluer mes grands-mères et de manger beaucoup trop de tarte aux bleuets, de frites et de fromage en grain (je m’étais donné comme mission de déterminer quel est le meilleur de la région). Bien entendu, j’ai aussi fait mon pèlerinage annuel au Zoo sauvage de Saint-Félicien.
Des vacances, quoi.
MÀJ 20 août: J’ai publié deux autres billets sur la région cette semaine, Une journée au Zoo de Saint-Félicien et Une auberge de jeunesse chargée d’histoire.
P.S.: Merci à mes soeurs, à mon amie Nathalie et particulièrement à ma mère qui m’ont servi de «chauffeuse» pendant toute la semaine!
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Autrice, journaliste, recherchiste, chroniqueuse, machine à idées et questionneuse en série, Marie-Julie Gagnon se définit d’abord comme une exploratrice. Elle collabore à de nombreux médias québécois et internationaux depuis plus de 25 ans. Elle a publié une quinzaine de livres, dont les essais « Voyager mieux : est-ce vraiment possible ? » (Québec Amérique, 2023), « Que reste-t-il de nos voyages ? » (Éditions de l'Homme, 2019) et le récit «Cartes postales du Canada » (Michel Lafon, 2017), en plus de diriger les deux tomes du collectif « Testé et approuvé : le Québec en plus de 100 expériences extraordinaires » (Parfum d'encre, 2017 et 2023) et de coécrire « Le voyage pour les filles qui ont peur de tout », (Michel Lafon, 2015 / 2020). Elle a lancé le blogue Taxi-brousse en 2008 et visité plus d'une soixantaine de pays, dont le Canada, qu'elle ne se lasse pas de sillonner de long en large.
Certains voyagent pour voir le monde, elle, c’est d’abord pour le « ressentir » (et, accessoirement, goûter tous les desserts au chocolat qui croisent sa route).
Sur Twitter, Instagram et TikTok: @mariejuliega. Sur Facebook: facebook.com/montaxibrousse/
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Une carte postal ou une feuille de temps? Mais quelle grosse semaine! Ouf!!!
C’est certainement essoufflant, mais nous, tu nous fait rêver et voyager, merci. ;-P
@Mamanbooh: Merci Julie pour tes commentaires toujours appréciés! 🙂 Je suis effectivement épuisée. Demain, dodo sur la route (si Maya le veut…)!
Te manquait juste une expédition sur la Péribonka, au Nord de Tchitogama : un peu extrême peut-être, mais ça fait complètement décrocher, dans mon cas 🙂
Pour l’eau : ouch, 55 à 57°F cet été, fin juillet… Un peu plus baignable (environ 70) au “camping du six milles”… (Voir Guide nautique du corridor de la Péribonka : on y fait allusion en fin d’article ici… http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/201009/15/01-4315829-peribonka-cest-la-riviere-qui-nous-mene.php )
Franchement, “manger beaucoup trop […] de fromage en grain (je m’étais donné comme mission de déterminer quel est le meilleur de la région)” nous savons tous quel est le meilleur! 😉
Le Médard de Saint-Gédéon? Moins salé et tellement goûteux! Un cadeau de leur cheptel?
Anecdote… Un jour, je réussi à faire goûter à mon père (70 ans) une p’tite bouchée du Rang des Îles de la fromagerie Médard; il faut comprendre que mon père n’est pas très porté sur le fromage, encore moins sur ce qui ne ressemble pas au cheddar! Sa réaction? “Ça goûte le sucre à la crème de ma mère!…”
Ma traduction bien personnelle: Ce fromage lui a rappelé les mêmes plaisirs que ceux produits par la dégustation du sucre à la crème de ma grand-mère (que je n’ai jamais pu goûter).