Moi? Décrocher? Ça ne m’arrive jamais. Surtout en voyage. Dans les lieux de rêve que je visite, je note, je photographie, je filme, je questionne, je tweete, j’écris, je rapporte. Je travaille, quoi. Ce sont les autres, qui sont en vacances.
Mais aujourd’hui, le bouton «off» s’est enclanché à mon insu à l’Îlet Oscar, dans la baie du François, en Martinique, où je me trouve depuis dimanche. Je venais de manger un espadon à la sauce chienparfaitement relevé, après avoir nagé (et bu du rhum!) dans la baignoire de Joséphine, haut fond sableux de l’océan Atlantique, où, paraît-il, l’impératrice qui a inspiré son nom aimait se prélasser.
Sans réfléchir, je me suis lovée dans le hamac aperçu à mon arrivée à la Maison d’hôtes de l’Îlet Oscar, charmant établissement de quatre chambres (le propriétaire, Wilhelm Kleinholtz, raconte son histoire dans cette vidéo si vous souhaitez en savoir plus).
Et j’ai décroché.
Deux heures à me balancer au son des vagues.
L’impression de revenir d’une semaine de vacances en ouvrant les yeux…
Chère Martinique, toi et moi, c’est le début d’une grande histoire d’amour.
J’étais l’invitée du Comité martiniquais du tourisme. Merci! Les opinions émises ici sont 100 % les miennes.
(Ce billet a été rédigé pour le 8 novembre 2012. Une première version a été publiée sur le défunt blogue EnTransit.ca.)
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