Souvent, le sable est granuleux. On sent les cailloux sous les pieds. Ou alors, farineux comme aux Bahamas. Presque comme du talc. Celui de la plage Paje est plus proche du velours. Les pas se font tout en douceur. Des caresses pour les petons endurcis par des jours sans chaussures. Au-delà de l’eau aussi chaude que celle de ma baignoire, des couleurs pures et des marées qui transforment le paysage, c’est le contact du sable-velours qui me manquera le plus.
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